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mardi 28 août 2012

L'écrivain décoré franco-syrien, Adnan Azzam : les sionistes étaient derrière la révolution française, ils fomentent le conflit en Syrie

MEMRI a capté cette interview d'Adnan Azzam, un écrivain franco-syrien, interview où il explique que les juifs (alias "sionistes") :
- dominent les médias grâce à l'argent
- nous font croire que le conflit syrien est une affaire interne alors que c'est faux.
- ont comploté depuis la révolution française qu'ils ont manipulée pour décapiter Louis XVI
- ont payé Napoléon pour qu'il aille à la conquête de l'Égypte et de la Palestine dans le but de fonder leur pays.
- sont derrière la guerre en Syrie dans le but de devenir une superpuissance

Il est Chevalier de l’Ordre National du Mérite...



(…) Grâce à toutes ces chaînes de télévision et tout cet argent, ils essaient de montrer au monde qu’il s’agit d’un conflit interne syrien – les groupes syriens demandent la liberté et des réformes face à une armée syrienne qui attaque férocement, tue et détruit tout sur son passage.
Ce qui se passe, en fait, est complètement différent. La bataille historique d’Israël était un combat universel, depuis la fondation du mouvement sioniste, depuis son ingérence dans les affaires mondiales – en d’autres termes, depuis qu’ils ont changé le cours de la Révolution française, en transformant une révolution réformiste en un mouvement sioniste, et en décapitant le roi de France en 24 heures sans procès. 
Ça continue toujours ; depuis qu’ils ont contacté Napoléon, ce jeune corse, et qu'ils lui ont dit, alors qu’il était encore au collège militaire :  « nous rendrons la Corse à l’Italie, et la Corse sera à nouveau indépendante ». Ils ont conclu un marché avec lui et l’ont recruté dans le mouvement sioniste. Ils lui ont versé de l’argent et envoyé en Égypte, pour jeter les bases de l’État de Palestine.
Ce qui se passe aujourd’hui en Syrie n’est pas un phénomène nouveau. Il s’agit du mouvement  sioniste croissant qui vise à devenir une superpuissance, nous sommes tombés dans ce stratagème, nous faisant croire que c'est un conflit interne - ce qu'il n'est pas.

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