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lundi 4 juin 2012

Une princesse Saoudienne en flagrant délit de grivèlerie

Le Parisien relate les extravagances d'une princesse Saoudienne qui doit...6 millions d'euros. A chacun des soucis à la hauteur de ses moyens !

Extrait:

Maha Al-Sudaïri
Maha Al-Sudaïri dépense sans compter. A millions. C’est même l’une des principales caractéristiques de l’épouse — aujourd’hui répudiée — du prince héritier d’Arabie saoudite, Naief. Mais elle est bien connue des établissements de luxe parisiens pour y laisser des ardoises monumentales. Après quelques milliers d’achats réglés, en 2009 dans la capitale, à coups de chèques en bois et de carte de crédit muette, la princesse, fantasque quinquagénaire, vient de se laisser aller à de nouvelles frasques.

Vers 3 h 30, jeudi matin, Maha Al-Sudaïri a tenté de quitter sur la pointe des pieds le palace Shangri-La, avenue d’Iéna, à Paris, où elle réside depuis le 23 décembre, accompagnée d’une soixantaine de membres de son personnel particulier, chargés de dizaines de malles. Sans régler la note… qui s’élevait à près de 6 M€. Un départ peu discret qui a immédiatement attiré l’attention de la direction de l’hôtel, au courant de la réputation de sa sulfureuse cliente.

Elle avait privatisé tout l’étage d’un palace parisien

Immédiatement prévenus, policiers et huissiers ont stoppé l’imposant convoi et contacté l’ambassadeur d’Arabie saoudite, tandis que l’on fouillait méthodiquement les royales valises. Un retour en fanfare. Car depuis plus de deux ans, Maha Al-Sudaïri s’était montrée plus discrète. Et pour cause : le roi Abdallah d’Arabie saoudite, lassé de ses frasques, et soucieux de l’image qu’elle pouvait offrir à l’étranger, l’avait assignée à résidence dans l’un des palais dont il dispose. Très loin de l’Europe et des palaces parisiens.

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